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Che Bella Cosa...

C’est officiel… Bella Napoli dans le quartier de Edgehill est mon petit endroit estival préféré à Nashville pour la bouffe, l’apéritif et le « far niente » (c’est sainte idée italienne de l’oisiveté délicieuse). Bordé dans sa petite ruelle, protégé de la circulation à pied ou en voiture, Bella Napoli est un refuge de répit dans une terre infestée de « hispters ». Je ne peux pas résister manger aux petites tables de café placées directement dans la ruelle étroite, ornée d’illuminations scintillantes, avec une vue à l’intérieur pour voir les hommes italiens aux cheveux bruns qui lancent dans l’air leur pâte à pizza devant le four en briques. Cette petite enclave se sent romantique et retirée, chaleureuse et attirante à la fois—perfetto.

Pas de choix—c’est absolument nécessaire de commencer avec un « Aperol spritz », un cocktail à la couleur crépuscule d’été, avec un équilibre parfait d’amère et doux, et les fines bulles qui indiquent toujours la célébration. Asseyez-vous et sirotez-le avec quelqu’un que vous aimez, laissant le soleil liquide vous remplit avant même d’ouvrir la carte ou demander les spécialités du jour.

Ensuite, commandez un autre pour apprécier avec une entrée de calamar, coupé en anneaux épais et légèrement frit à la sauce marinara.

J’ai jamais réussi dans mes efforts de ne pas commander ou la pizza ou les pâtes du jour chez Bella Napoli, et donc ma dernière visite n’a pas fait exception à la règle. La mention même du fromage Gorgonzola on a piquée la curiosité, on a donc pris la pizza, à la base d’huile d’olive, avec un tout petit peu de mozzarella, des champignons, des tomates cerises, des gros morceaux de gorgonzola acidulé et crémeux cachés au-dessous des tranches translucides de speck, et une poignée de salade jetée juste au centre de la pizza pour nous encourager dans nos excellents choix de vie.

C’était une pizza à faire pleurer dans les chaumières.

On a fait descendre la pizza entière avec le vin de table qui était un Pinot Gris complètement acceptable et surtout bon marché, et on a tous vécu heureux jusqu’à la fin de nos jours…

FIN.

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